"Ja, als het goed gaat, heb je vrienden, dan wel." Ik hoor het mensen zo denken.
"Jij zal wel je portie vrienden hebben met je lach en je leven en je talent".
Maar ik weet wel: je moet er altijd aan werken.
Er zijn er ook wel eens door een mistig en hopeloos spekglad landschap getrokken: warme vriendschappen van me. Dat ik dacht: "dat komt nooit meer goed".
Maar dat het dan wel goed komt, da's werken. Vriendschappen vallen niet als sneeuwballen uit de lucht. Het zijn vlokken die je samen moet rollen tot "veel" of minstens tot "genoeg".
Bron: Sven Ornelis - HLN 7 januari 2009.
Weer in Deinze: droog, zeer koud, zonnig heel de dag.
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1 opmerking:
Bonnes fêtes ! Réjouissez vous !
Il fait gris. Les jours raccourcissent. La lumière se fait rare. Joyeux Noël !
Fêtons l’enfant de paix et d’amour ! Un peu partout dans le monde, la parole est aux armes. Des milliers d’enfants meurent de faim alors que dans les pays riches, l’obésité est un fléau épidémique. Des milliers de jeunes meurent de maladies bégnines chez nous, parce que nous avons accès aux médicaments et aux vaccins, pas eux ! Les actes de délinquance sont en hausse constante, c’est du moins l’impression que l’on a ! Peut-être seulement parce que les annonces et commentaires à leur sujet sont eux – et eux seulement – en hausse constante !
Bonne année ! 2009 sera une bonne année !
Le pouvoir d’achat est en chute libre. La nature proteste contre l’incurie humaine. Nous entrons dans une période de récession. Les emplois sont menacés. Bonne année !
Quand j’écris cela, qu’est-ce que j’ai fait, sinon énoncer des évidences ? Nous savons tous que le climat est morose, que l’année 2009 ne nous apportera pas de miracle et que l’enfant Jésus ne fera pas non plus régner soudain la paix, l’équité et l’amour. Si nous voulons trouver des raisons de nous réjouir quand même, c’est autour de nous et en nous que nous devons les trouver. Avez-vous remarqué, comme moi, qu’en dépit du caractère aigu de la crise financière en plein écroulement des valeurs boursières, alors que la menace de faillite des institutions financières était à son comble, des hommes et des femmes qui – comme vous et moi – étaient sans doute inquiets de leur avenir matériel ont participé à Cap 48, et plus largement que l’an dernier quand les baromètres économiques étaient encore sereins?
Avez-vous entendu parler de ces nombreux petits groupes d’entraide qui se forment un peu partout, sans but lucratif, simplement par souci de voisinage chaleureux ?
Toute considération politique mise à part, n’êtes-vous pas agréablement surpris de découvrir qu’une majorité d’Américains ont été capables de surmonter les préjugés raciaux ? Ne vous réjouissez vous pas de voir de plus en plus de groupes musicaux, d’équipes sportives pluriculturels ?
Avez-vous eu l’occasion de prendre conscience que de nombreux jeunes s’impliquent dans des groupes de soutien aux plus démunis, même si les médias nous en parlent moins souvent que les jeunes délinquants ?
Et je pourrais multiplier les exemples de bonnes nouvelles, de ces nouvelles qui ne font pas la Une des journaux, de ces gens simples et modestes qui ne se pavanent pas à la TV parce qu’ils ont mieux à faire : rencontrer les autres, leur parler, les aider. Ce que je vous souhaite pour 2009, ce n’est pas de rêver à un bonheur utopique mais d’être à l’affût de ces signes de générosité, d’entraide, de respect mutuels, ces signes qui prouvent, qu’en dépit de tout, l’humanité n’est pas pourrie, mais qu’elle porte aussi en elle le meilleur. Ce que je vous souhaite c’est de porter sur le monde et surtout sur votre entourage un regarde ouvert sur le bonheur.
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